Colonel Eugène Bridoux
1934-1936

Général Eugène Bridoux

Eléments de Biographie

Source : wikipédia et military-photos.com

Le Colonel Eugène Bridoux(1888-1955), commanda le Régiment de 1934 à 1936 puis devenu général de brigade, commanda l’École de cavalerie à Saumur (1938). En septembre 1939, il fut placé à la tête de la 41ème division d’infanterie. Fait prisonnier en juin 1940, il fut libéré en mars 1941, grâce à l’intervention de Fernand de Brinon qui lui confia le poste de secrétaire général de la Délégation du gouvernement français dans les territoires occupés. Engagé dans la Collaboration, il fut successivement Secrétaire général de la Délégation générale du gouvernement français dans les territoires occupés du 20 mars 1941 au 18 avril 1942, puis secrétaire d’État à la Guerre (du 18 avril 1942 au 25 mars 1943), et enfin sous-secrétaire d’État à la Défense nationale (du 26 mars 1943 au 20 août 1944) dans le gouvernement du Maréchal Pétain. Lors de la Libération de la France, il s’enfuit à Sigmaringen. Capturé en 1945, il s’évade de Paris en 1947 (de l’Hopital du Val de Grâce) et se réfugie en Espagne où il meurt le 6 juin 1955. Il avait été condamné à mort par contumace pour faits de collaboration le 10 décembre 1948. Ses archives sont déposées à la Bibliothèque nationale de France. Elles comprennent ses Souvenirs de Vichy, journal tenu du 18 avril 1942 au 15 avril 1944.

Général Marie Joseph Eugène Bridoux

Général Marie Joseph Eugène Bridoux

Son père, Marie Joseph Eugène Bridoux (1856-1914) est un général de division français tué durant la Première Guerre mondiale. Né le 25 février 1856 à Oisemont (Somme) fils de sous officier, saint cyrien, il a été instructeur à Saumur et professeur à l’école de Saint Cyr. Colonel commandant le 27ème Régiment de Dragons, puis général de brigade directeur de la cavalerie au ministère de la guerre (1909-1913). Général de division en mai 1913, il commande la 5ème division de cavalerie au déclenchement de la guerre de 1914, il est placé à la tête du 5ème corps de cavalerie en septembre 1914. Il perça à plusieurs reprises avec ce dernier l’offensive allemande dans la Marne. Il est mortellement blessé le 17 septembre 1914 à Pœuilly (Somme) dans une embuscade avec son état major.Il a laissé son nom à un campus de l’université de Metz.

Son fils, officier de cavalerie comme son père et son grand-père, a servi comme capitaine commandant l’Escadron motorisé dans les rangs du 2ème Régiment de Dragons commandé par le Colonel Schlesser à Auch après l’Armistice. Engagé avec son escadron vers la ligne de démarcation lors de l’invasion de la zone libre, il dû faire demi-tour sur ordre (ordre donné aux troupes françaises par son propre père), sans engager le combat contre les Allemands. Mais, contrairement à la plupart de ses camarades de régiment ayant, soit rejoint l’Afrique du Nord par les prisons espagnoles après le célèbre serment à l’Etendard, soit combattu dans les maquis de la Région d’Auch [1], le chef d’escadrons Eugène Jean Bridoux (1914-1945), fut un des chefs de la LVF de 1943 jusqu’à la fin de 1944. Il prit ensuite le commandement du 2ème Régiment de grenadiers de la division Waffen-SS française Charlemagne avec le grade de sturmbannführer SS de décembre 1944 à mars 1945. Il quitta cette fonction à la surprise générale, suite semble-t-il à une visite de son père au camp d’entraînement de Wildflecken où s’opérait l’organisation de l’unité Waffen-SS française. Il mourut en 1945 en Bavière alors qu’il se rendait aux Américains.

[1] Hormis l’évasion de l’Etendard (celui du 2ème Hussards ne fut « que » caché dans la région) Il existe beaucoup de similitudes étonnantes entre ces deux numéro 2 de la Cavalerie(le 2ème Hussards et le 2ème Dragons) dans cette période : outre le fait qu’ils occupaient deux garnisons du Sud-Ouest proches, Tarbes et Auch, le serment à l’Etendard organisé par le Colonel Schlesser et son appel à continuer la lutte sont très proches de l’ordre du jour du Colonel Désazard de Montgaillard. Si les membres du 2ème Dragons se regroupèrent autour de leur étendard, ceux du Régiment passés en Afrique du Nord et par les prisons espagnoles eux aussi, se reformèrent autour de l’Etendard du 5ème Chasseurs d’Afrique, (régiment que leurs anciens avaient d’ailleurs contribué à former un demi-siècle auparavant) mais la démarche est la même. Pour ceux demeurés en France, à de rares exceptions comme celle du Chef d’escadrons Bridoux qui est un extrême, ils participèrent à la formation des maquis locaux, et il est très vraisemblable que certains Dragons et Hussards des « 2 » aient d’ailleurs combattu ensemble dans ces mêmes maquis. Certains Dragons ont même dû se retrouver sous les plis de l’Etendard du 2ème Hussards, lorsque celui-ci, extrait de sa cachette et confié par le Général De Gaulle au Colonel O’Neill, lui même membre de ces maquis, fut choisi pour engerber ces mêmes unités FFI dans une unité régulière. « l’Etendard évadé » de Daniel Devilliers (Berger-Levrault) ne le mentionne pas expréssement mais raconte en revanche que ces anciens Dragons n’avait pour seul objectif que de rejoindre leur ancien régiment, membre de la 1ère Armée Française du Général de Lattre.

Quelques recherches approfondies sur Internet m’on permis de compléter les éléments sur la famille Bridoux et notamment le fils du chef de corps de Chamborant dont les éléments sont difficiles à trouver du fait de son parcours trouble.

Complément d’informations

Le général Bridoux Source pages persos sur Deux généraux politiques face à la collaboration

Le Général de Corps d'Armée Eugène Bridoux

Le Général de Corps d’Armée Eugène Bridoux

Fils du premier général tué à l’ennemi au cours de la guerre 14-18, Eugène Marie Louis Bridoux, né à Doulon le 24 juin 1888, mène une belle carrière. A l’été 1938, il prend le commandement de l’Ecole militaire et d’application de la Cavalerie et du Train. Il n’y reste qu’un an, puisqu’à la déclaration de guerre, il est placé, le 2 septembre 1940, à la tête de la 41ème division d’infanterie sur le front du N.E. Il laisse sa famille dans l’hôtel du commandement, son successeur, le colonel Michon, continuant à habiter rue du Temple.

Il est fait prisonnier avec sa division, mais il est libéré en mars 1941, sur la demande de Fernand de Brinon, délégué général du gouvernement français dans les territoires occupés, successeur du général de La Laurencie. Ce fait n’a rien de confidentiel ; La Dépêche du Centre du 29 mars précise même que Bridoux a été libéré sur ordre du Führer, à la demande de Monsieur de Brinon. Ce dernier en fait aussitôt son second, en lui confiant, le 20 mars, le poste de Secrétaire général de la Délégation. Les deux hommes apparaissent comme étroitement liés pendant tout le cours de la guerre ; Brinon fait sûrement appel à Bridoux en connaissant ses choix politiques. Selon l’hypothèse la plus vraisemblable (mais non étayée par des textes), ils se connaissent depuis l’avant-guerre. Le journaliste Fernand de Brinon, ami d’Otto Abetz, était le vice-président et le principal animateur du Comité France-Allemagne, qui n’avait aucune continuité avec les rencontres pacifistes fondées dans l’esprit d’Aristide Briand, mais, qui, créé en novembre 1935, regroupait des amis de l’Allemagne nazie, même si ses Cahiers ne publient que des articles culturels plutôt anodins. Brinon agit comme un agent de la propagande hitlérienne (cf. ses textes dans Dominique Veillon, La collaboration. Textes et débats, Livre de poche, 1984, p. 44-47 ). Sans savoir jusqu’à quel point il s’est engagé, nous supposons que Bridoux a eu des relations avec ce Comité France-Allemagne.

Le général Bridoux ancien chef de corps du 2<sup>ème</sup> Régiment de Hussards avec le colonel Hans Speidel, au centre, Fernand de Brinon et le général Otto von Stülpnagel, à l'occasion du décès accidentel du général Huntziger

Le général Bridoux ancien chef de corps du 2ème Régiment de Hussards avec le colonel Hans Speidel, au centre, Fernand de Brinon et le général Otto von Stülpnagel, à l’occasion du décès accidentel du général Huntziger

En tout cas, il se montre constamment proche de Fernand de Brinon et très à l’aise dans les milieux collaborationnistes parisiens. Le voici sur le côté droit de la photo en conversation avec le colonel Hans Speidel, au centre, Fernand de Brinon et le général Otto von Stülpnagel, à l’occasion du décès accidentel du général Huntziger.

Il mène une belle carrière. Il devient secrétaire d’Etat à la Guerre dans le cabinet de Pierre Laval, constitué le 18 avril 1942 ; il est en même temps chef d’Etat-Major général de l’armée d’armistice ; il demeure constamment dans ce gouvernement, à ce détail près qu’il est rétrogradé au rang de sous-secrétaire d’Etat à la Défense nationale, à partir du 26 mars 1943.

Présenté comme « un ultra de la collaboration » par Jean-Pierre Azéma, il est prêt à aller beaucoup plus loin que Laval dans la voie de l’alliance avec l’Allemagne. En novembre 1942, quand les troupes du Reich envahissent la zone libre, il annule l’ordre de résister lancé par le général Verneau [2].

[2] NDW : Son fils Jean commandait l’escadron motorisé du 2ème Régiment de Dragons, stationné à Auch que le Colonel Schlesser avait lancé au devant des Allemands vers la ligne de démarcation. Il dû rentrer à Auch mais contrairement à ses camarades passés en Espagne ou ayant constitué les maquis dans le secteur, il ne suivit pas le serment à l’Etendard, au contraire (voir infra).

Il tente de reconstituer une armée qui serait au service des Allemands, qui se battrait sur le front russe et aussi contre les Anglo-saxons en cas de débarquement. Cette ambition aboutit à la création du 1er régiment de France. Sur les conseils de Benoist-Méchin, grand admirateur de l’armée allemande, il lance la Légion tricolore, destinée à enrôler les militaires licenciés de l’armée d’armistice et à les envoyer combattre à l’Est. Ces deux initiatives sont des échecs immédiats ; malgré son zèle pro-nazi, le général Bridoux ne parvient pas à inspirer confiance aux Allemands, qui continuent à se méfier d’une armée française disposant d’une certaine autonomie.

Il donne cependant l’exemple : Jean Bridoux, son fils ainé s’est engagé dans la L.V.F., puis a commandé le 2ème régiment de grenadiers de la division Charlemagne, avec le grade de Sturmbannführer ( il est tué en 1945 à l’arrivée des Américains ).

Non seulement germanophile, Bridoux est aussi antisémite ; il limoge un officier de gendarmerie qui avait refusé de mettre ses hommes à la garde de Juifs déportés vers la zone Nord. Le général Weygand, qui était autant antiallemand qu’antianglais, l’aurait qualifié de « honte de la France », selon une affirmation souvent recopiée sur l’Internet, mais sans source précise.

Bridoux pousse jusqu’au bout sa logique pro-hitlérienne. Il s’enfuit à Sigmaringen et appartient à la fantomatique Commission dirigée par Fernand de Brinon ; il y reçoit le poste de Délégué à la protection des prisonniers de guerre.

Il est capturé en Autriche. Emprisonné à Paris, il s’évade du Val de Grâce le 6 juin 1947, peu après l’exécution de Fernand de Brinon. C’est donc par contumace qu’il est condamné à mort le 10 décembre 1948. Il a trouvé un asile auprès de Franco et il décède à Madrid le 6 juin 1955.

Création de l’Arme des Transmissions

C’est en 1942, au sortir de la campagne de 1940 qu’au sein de l’Armée d’armistice, ceux qui jusque-là servaient au sein de l’arme du Génie en tant que sapeurs-télégraphistes depuis la Grande guerre, prennent leur « indépendance ». C’est le général de corps d’armée Bridoux, secrétaire d’état à la guerre du Maréchal Pétain qui a décidé la création de cette arme et signé l’ordre de création. (Vous pouvez comparer les signature sur la dédicace de sa photo aux officiers de Chamborant et celle du document).

Zoomer et faire défiler les images en cliquant dessus ou voir et lire le Création de l’arme des transmissions. document original en pdf

Décret de création de l'arme des transmissions, 4 avril 1942

Décret de création de l’arme des transmissions, 4 avril 1942

Décret de création de l'arme des transmissions, 4 avril 1942

Décret de création de l’arme des transmissions, 4 avril 1942

Décret de création de l'arme des transmissions, 4 avril 1942

Décret de création de l’arme des transmissions, 4 avril 1942

Décret de création de l'arme des transmissions, 4 avril 1942

Décret de création de l’arme des transmissions, 4 avril 1942

Les fils du Général Bridoux
Source : base généalogique Roglo (www.roglo.eu)

Le général Bridoux s’est marié le 28 décembre 1910 à la Cathédrale Saint-Louis de Versailles, avec Jeanne Suzanne Troupeau (1886-1975) , ils ont eu cinq enfants :

  • Jean 1911-1945
  • René 1913-2009
  • Magdeleine 1914-2007
  • Yvonne 1917-
  • Pâquerette 1925-ca 1996

Les deux fils, Jean et rené, comme leur père sont Saint-cyriens

Jean Bridoux

(Eugène Jean Marie Bridoux)

CES Jean Bridoux

Le chef d’escadrons Jean Bridoux

Né le 16 novembre 1911 à Versailles (Yvelines) et décédé le 14 juillet 1945 à Eichstädt, Bavière (Allemagne)

Saint-cyrien de la promotion du Tafilalet 1931-1933, le Chef d’Escadrons Bridoux était :

  • Chevalier de la Légion d’honneur
  • Croix de guerre légionnaire (d’après Le forum Stratégietotale.com
  • Croix de fer de 1ère classe (2èmee classe le 17 mars 1944, 1ère classe après la bataille de Bobr, qui eut lieu les 26-27 juin 1944)

Jean Bridoux

Waffen-Strümbannführer de SS

Source :Biographie in Waffen-SS Français volume 1 – officiers par Grégory Bouysse sur Google books
Nationalité : Français
N° SS : NA – Entre à la Waffen-SS le 01.09.1944

Promotions :

Capitaine / Hauptmann
Commandant / Major
Waffen-Strümbannführer der SS

Eugène Marie Jean Bridoux est né le 16 novembre 1911 à Versailles. C’est le fils du Général Eugène Bridoux[3]

Bridoux fils est un pur produit de Saint-Cyr, dans la branche cavalerie. Durant la bataille de France, il sert au sein du 10e régiment cuirassé (NDW = 10e Régiment de Cuirassiers [4]), est blessé deux fois et reçoit la croix de chevalier de la Légion d’honneur.

Après un court séjour au centre de formation des cadres de la LVF à Montargis, Bridoux gagne Versailles le 1er septembre 1943, puis de là, embarque pour Kruszyna le 7 septembre. Après ses classes, il arrive en Biélorussie en novembre. D’abord affecté au 3ème bataillon, il est nommé commandeur du 1er bataillon en novembre 1943, à la place de Bassompierre. C’est l’un des rares officiers d’active à s’être engagé à la LVF. Il est décoré de la Croix de fer de IIème classe, le 17 mars 1944.

Bridoux mène la glorieuse résistance de la LVF[5], les 26-27 juin 1944, sur la rivière Bobr, contre des troupes soviétiques largement supérieures en nombre et en matériel. Un communiqué militaire soviétique parlera de « deux divisions françaises » ! En fait 600 hommes environ. Il est décoré de la Croix de fer de Ière classe, suite à son action à Bobr[6].

Il décide de suivre ses hommes, lors du transfert de la LVF à la Waffen-SS. Nommé commandeur du « Waffen-Grenadier-Regiment der SS 58 ». Après la cérémonie de serment, le 12 novembre 1944, la brigade défile dans sa totalité à Wildflecken, avec Eugène Marie-Jean Bridoux ouvrant la marche. Mais, fin décembre 1944[7], suite à une visite de son père, il quitte brusquement Wildflecken le lendemain, sans avertir personne[8], et part pour la délégation militaire française à Berlin. Les raisons de ce départ ne furent jamais connues[9].

Capturé par les alliés, Eugène Marie-Jean Bridoux se serait suicidé le 14 juillet 1945, à la prison d’Eichstatt en Bavière, suite à une visite d’un ancien ami de Saint-Cyr, qui lui aurait fourni le pistolet. Des volontaires croiront plutôt qu’il fut exécuté sans jugement. Bridoux est enterré au cimetière de Treuchtlingen, en Allemagne.

Tombe du Commandant Jean BRIDOUX Cimetière St-Louis, canton F sud, 2ème ligne, Versailles (Yvelines)
Tombe de Jean Bridoux

Tombe de Jean Bridoux à Versailles

Tombe de Jean Bridoux à Versailles

NDW : On trouve sur Internet une tombe au nom de Jean Bridoux au cimetière Saint-Louis à Versailles, cimetière où est enterré son grand-père le général … son corps aurait-il été depuis rapatrié par le famille ? …

Notes :

[3] Qui fut successivement secrétaire général de la délégation du gouvernement français dans les territoires occupés, du 20 mars 1941 au 18 avril 1942 ; puis secrétaire d’état à la guerre, du 18 avril 1942 au 25 mars 1943 ; et enfin sous-secrétaire d’état à la défense nationale, du 26 mars 1943 au 20 août 1944. Réfugié en Allemagne, capturé en mai 1945, et interné en prison en France. Il s’en évade le 6 juin 1947, et s’enfuit en Espagne, où il mourra en 1955. Quand au père d’Eugène Bridoux(et donc grand-père de Jean) il fut l’un des premiers généraux français à être tué en 1914.
[4] Régiment commandé par un certain colonel De Gaulle …
[5] Du moins une partie, environ 600 hommes, notamment du 1er Bataillon.
[6] Moins de dix hommes de la LVF furent décorés de la Croix de fer de 1ère classe : dont Edgard Puaud, Jacques Seveau, Lucien Gobion, Eugène Pané et Jean Neveux.
[7] Peut-être peu avant Noël.
[8] D’après Jean Mabire il avertit tout de même Edgard Puaud qui lui interdit d’emmener ses deux chevaux personnels avec lui.
[9] Est-il possible que son père l’ait convaincu de l’inutilité de continuer le combat ?

René Bridoux

(Victor Marie René Bridoux)

Né le 11 février 1913 à Saint-Hilaire-Saint-Florent (Maine-et-Loire) et décédé le 26 janvier 2009 à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine)

Saint-cyrien de la promotion Maréchal Joffre 1930-1932, René Bridoux était :

  • Chevalier de la Légion d’honneur

Au début de la guerre 39-45, il est capitaine au 8ème RCC. Il est fait prisonnier et détenu à l’Offlag VI A, libéré, il sert au 1er Régiment de France, officier-adjoint du 3ème bataillon(1943-1944), puis fait une carrière de DRH des Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire.

Retour vers Chefs de Corps 1914-1940